Joubert : le grand nom du contreplaqué
Doc. Joubert - Crédit photo : S. Crampon
Acteur reconnu sur le marché international du contreplaqué, le Groupe Joubert, aujourd'hui deuxième producteur européen de contreplaqué okoumé, est né d'une aventure familiale exemplaire. Le groupe qui compte 370 employés (dont 270 en France) tire sa force de son savoir-faire et de ses racines, mais aussi de sa rigueur et d'une politique volontariste de qualité constante unanimement saluée par ses partenaires et confrères. Avec deux sites de production en France, Joubert aux Eliots près de Rouillac (16) et Sopegar à Saint-Jean-d'Angély (17), et un site de production à Port-Gentil au Gabon, le groupe produit annuellement 70.000 m3 de contreplaqué, dont 70% destinés à l'exportation. L'exceptionnelle qualité -certifiée- et la grande diversité de ses contreplaqués, ont d'ailleurs fait le renom de Joubert jusqu'à l'autre bout du monde, des Etats-Unis à la NouvelleZélande !
Fruit d'une aventure familiale exemplaire, le Groupe Joubert est aujourd'hui administré par Guy Joubert, secondé par son fils, Thierry Joubert, et Jean-Pierre Villéger, directeur commercial et marketing (de droite à gauche sur la photo).
Les qualités exceptionnelles et la longévité du bois d'okoumé ont permis au Groupe Joubert de concevoir des contreplaqués qui font aujourd'hui référence sur les marchés internationaux.
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e n l i g n e s u r w w w. n - s c h i l l i n g . c o m
C O M M U N I Q U É
Doc. Joubert
D E
Devenu un grand nom du contreplaqué, Joubert SA a conçu des contreplaqués qui font aujourd'hui référence sur le marché ; comme le Joubert Paint (contreplaqué revêtu d'un film mélamine blanc, qualité à peindre) ou le Joubert Primed (revêtu d'une couche de peinture acrylique), soulignant la réactivité du groupe et sa capacité d'innovation face aux exigences des marchés.
P R E S S E
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J U I N
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Une histoire de famille
En créant dans les années 30 une petite scierie pour réparer les toitures de sa ferme, André Joubert, aujourd'hui âgé de 101 ans, posait les bases d'une véritable aventure industrielle familiale. Installé à Rouillac (Charente), le jeune agriculteur devenait le fournisseur local des villageois, la demande croissante nécessitant rapidement la création, sur les terres attenantes à la ferme, d'une entreprise forestière, de sciage et déroulage de peuplier... bientôt sollicitée par les transformateurs de bois de la région. En 1966, Guy Joubert décidait de prendre la succession et d'élargir l'activité au déroulage des bois, participant ainsi de plus en plus activement au dynamisme économique local, par la création d'emplois et l'écoulement du bois de peuplier de la région. La production allait ensuite rapidement s'étendre aux bois exotiques. La proximité du port de la Rochelle (La Pallice), premier port grumier européen, permettait en effet de s'alimenter facilement pour passer, dès l'année 1972, à la fabrication de panneaux contreplaqués. Toute l'expérience développée par la famille Joubert pouvait alors s'appliquer aux exceptionnelles qualités de transformation et de longévité de l'okoumé, essence en provenance du Gabon. Le succès rencontré par ces nouvelles productions entraînait la naissance de la Holding Etablissements Guy JOUBERT SA avec l'acquisition, en 1990, d'une nouvelle unité de fabrication, SOGEPAR, implantée à Saint-Jean-d'Angély et dirigée par Thierry Joubert, petit-fils d'André Joubert. Aujourd'hui Guy Joubert est à la tête de la Holding dont les bureaux ont été implantés dans l'ancienne ferme rénovée d'André Joubert. Il administre JOUBERT SAS et SOPEGAR SAS, secondé par son fils Thierry Joubert et Jean-Pierre Villéger, directeur commercial et marketing.
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Toute l'expérience du Groupe Joubert se concentre dans la fabrication de panneaux de contreplaqué haut de gamme : les billes de bois de peuplier ou d'okoumé sont dans un premier temps déroulées (photo 1), les placages sont ensuite mis en bobines (photo 2) avant d'être séchés (photo 3). Les feuilles sont jointées (photo 4), encollées puis pressées, constituant des panneaux de contreplaqués alors découpés et poncés (photo 5).
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